Israël veut récupérer les 58 otages encore détenus par le Hamas, et cela, à n'importe quelle condition. 436 personnes ont été tuées lors des deux derniers jours dans des bombardements hébreux, selon la Défense civile de Gaza, et cela pourrait devenir encore pire, menace le ministre israélien de la Défense.
Le nombre de morts dans la bande de Gaza a bondi d'au moins 970 en seulement deux jours depuis qu'Israël a repris ses frappes. L'État hébreu accuse le Hamas de refuser de poursuivre les négociations de cessez-le-feu après plusieurs refus de la proposition américaine. Le Hamas a déclaré qu'il était toujours ouvert aux négociations.
Après la rupture du cessez-le-feu par Israël et les bombardements qui ont fait plus de 400 morts, selon les chiffres annoncés par le Hamas, les autorités hébreuses menacent de continuer leurs actions.
Selon des médias israéliens, le Premier ministre hébreu, Benjamin Netanyahu, a élaboré un système de pression baptisé "plan de l'enfer", qui vise à faire plier le Hamas.
413 personnes ont été tuées dans des frappes nocturnes dans la bande de Gaza. L'armée israélienne a procédé à plusieurs frappes en ayant obtenu l'accord des États-Unis au préalable. Les USA rejettent la faute sur le Hamas.
La Défense civile de Gaza annonce 413 morts après des frappes israéliennes nocturnes, les plus intenses depuis la trêve. Le Hamas accuse Netanyahu d’exploiter la guerre pour des raisons politiques et de sacrifier les otages encore détenus dans l'enclave palestinienne.
Israël a mené ce dimanche une frappe meurtrière dans la bande de Gaza, minant un accord de cessez-le-feu déjà chancelant avec le Hamas, avant de nouvelles négociations indirectes à Doha sur les modalités de la poursuite de la trêve.
Les dégradations sont l'œuvre d'un groupe qui se nomme Palestine Action, et qui vise essentiellement les fabricants d'armes fournissant les Israéliens.
Le Hamas a diffusé ce vendredi une vidéo montrant un otage israélien vivant, retenu à Gaza depuis l'attaque du 7 octobre 2023 sur le sud d'Israël, s'adressant à sa famille en s'identifiant.
Alors que les relations entre Hamas et Israël sont à fleur de peau, Donald Trump a mis la pression sur l'organisation palestinienne. Ce qui ne plaît pas du tout aux principaux intéressés.
Les Palestiniens se rassemblent pour un iftar collectif, repas de rupture du jeûne, lors du premier jour du mois sacré du Ramadan, parmi les décombres de bâtiments détruits à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza.