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Épargner, oui, mais pas à n’importe quel prix. Pour en savoir plus, nous sommes allés à votre rencontre. Et avec 1 000 €, ce montant rime davantage avec sécurité que rentabilité.
Pour les petites sommes versées sur un compte bloqué, à terme, Alessandro Carlisi, expert en investissements à la Banque Crelan Liège, nous le confirme, le rendement est presque identique aux bons d’état : « Si on compare un compte à terme aux bons d’état, on est sensiblement sur la même chose. Les comptes épargne sont généralement un peu inférieurs, tout simplement parce que vous avez de la liquidité absolue et qu’un compte à terme, l’argent est bloqué un certain temps ».
Avec un budget de 10 000 €, les possibilités s’élargissent. Assurance vie, épargne, pension, voire quelques investissements volatils via la crypto monnaie ou, moins risqués, les actions et obligations.
Troisième pilier pour la banque, le portefeuille de ces produits de placement doit être équilibré pour un meilleur rendement.
« Ça dépend du profil et de l’objectif de l’investisseur mais l’équilibre et la diversification seront les mots clés. On est sur le long terme. Statistiquement, on est largement gagnant par rapport au compte épargne ou compte à terme », explique Alessandro Carlisi.
Avec 50 000 €, s’ouvre une autre dimension la stratégie patrimoniale. Objectif : acquérir un bien immobilier ou faire confiance au fonds d’investissement.
« Il faut faire le calcul au niveau de l’investissement, du rendement si c’est pour y vivre ou si c’est pour du rapport. Mais il n’y a rien à faire, le Belge a une brique dans le ventre. Ça reste un investissement significatif », dit Alessandro Carlisi.
Selon une étude, l’épargne médiane d’un ménage belge est de 14 000 €. Assez pour en garantir la sécurité financière. À condition, bien sûr, de toujours suivre les conseils de professionnels.















