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En visite d’État au Chili, le roi et la reine ont donné une autorisation très spéciale à la princesse Elisabeth : « C’est la toute première fois »

Par RTL info avec Amélie Schildt
Alors que le roi Philippe et la reine Mathilde sont en visite d’État au Chili, la princesse Elisabeth a reçu une dizaine de jeunes patients de l’hôpital pour enfants Princesse Élisabeth au Palais royal de Bruxelles.

Actuellement au Chili pour une visite d’État, le roi et la reine ont laissé le Palais royal à la princesse Elisabeth. Et cette dernière avait une journée bien chargée, malgré l’absence de ses parents. Après leur avoir rendu visite en décembre 2023 à Gand, les jeunes patients de l’hôpital pour enfants Princesse Elisabeth se sont rendus au Palais royal.

Cette journée de visite est d’autant plus spéciale qu’il s’agit d’une première pour la princesse. « C’est la toute première fois que le roi Philippe confie les clés de son Palais royal à sa fille aînée, à la future reine des Belges. Et ça, c’est très symbolique », explique notre spécialiste royauté, Amélie Schildt.

Et bien que le couple royal soit en visite d’État, il a accepté qu’en leur absence, Elisabeth puisse organiser sa toute première activité officielle dans les murs du Palais. « Ça montre d’abord une vraie confiance de la part de nos souverains. Ça montre aussi une volonté d’émancipation de la princesse Elisabeth. Aujourd’hui, elle fait de ses études sa priorité. C’est vrai, mais en l’occurrence, elle avait un peu de temps puisqu’elle effectue un stage de sept semaines à Bruxelles cet été. Et donc, elle a voulu en profiter pour mettre en avant les thématiques qui lui sont chères, dont l’enfance », rajoute notre journaliste.

Toutefois, il faut rappeler que la princesse, aujourd’hui, ne bénéficie pas de ses propres équipes pour travailler. Elle n’a pas de conseiller : ce sont les équipes de son père qui l’ont aidée, notamment à organiser cet événement.

Pour ce qui est de la suite de son programme, elle devrait retourner aux États-Unis dès le mois d’août pour terminer son master, dont il lui reste encore un an à accomplir. Sauf si Donald Trump décide de changer les règles en vigueur pour les étudiants étrangers.

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