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Contrairement à la Fédération Wallonie-Bruxelles, la Communauté germanophone n'a pas modifié son rythme scolaire. Ce premier septembre est donc synonyme de rentrée scolaire pour les élèves de maternelle et de primaire. Ils étaient environ 7.000 à retrouver le chemin de l'école vendredi matin. A cette occasion, Lydia Klinkenberg, la ministre en charge de l'Enseignement, a visité vendredi une école située à Raeren, dans le sud de la Communauté germanophone. Une autre visite, cette fois à Saint-Vith, est également prévue vendredi après-midi.
A Raeren, ce sont 427 élèves qui ont fait leur rentrée ce matin et qui ont eu l'occasion de rencontrer la ministre.
La ministre a eu l'occasion de s'entretenir avec l'actuelle directrice de l'établissement, qui effectue sa dernière rentrée scolaire mais aussi avec le futur directeur, qui lui succédera l'an prochain.
L'occasion pour Lydia Klinkenberg de rappeler qu'aucun changement du rythme n'est scolaire n'est prévu dans la plus petite des entités fédérées pour la rentrée scolaire prochaine.
La Communauté germanophone souhaite en effet s'inscrire dans une révision plus globale du système qui concernerait aussi l'organisation des journées et des semaines.
"Une étude scientifique est en cours concernant le rythme scolaire en Fédération Wallonie-Bruxelles. Nous souhaitons voir les conséquences et les éventuels bienfaits de ce nouveau rythme scolaire avant de prendre une décision. Je peux déjà vous assurer que les vacances en Communauté germanophone ne seront pas modifiées pour la rentrée scolaire prochaine", a souligné la ministre.
Si environ 7.000 élèves sont de retour à l'école depuis ce vendredi, 8.000 autres, les plus grands, retrouveront le chemin de l'école lundi.
