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À partir du 1er septembre, un travailleur qui mettra fin de manière anticipée à son crédit-temps, à son interruption de carrière ordinaire ou à son congé thématique au cours de la durée minimale prévue ne devra plus rembourser à l'Onem les allocations d'interruption perçues, a indiqué l'office national de l'emploi. Une exception vaut toutefois pour le crédit-temps fin de carrière.
Jusqu'ici, si le travailleur interrompait son congé avec allocations avant la durée minimale (qui peut aller jusqu'à six mois en cas de crédit-temps d'1/5 temps), les allocations reçues étaient considérées comme indûment perçues et étaient récupérées par l'Onem.
Le travailleur qui met fin à son congé avant la date d'échéance demandée à l'origine perdra, néanmoins, le solde du crédit permettant d'atteindre la durée minimale (sauf dans le cadre d'un congé pour soins palliatifs), précise l'Onem.

















