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« C’est inadmissible » : David Clarinval réagit aux incidents en marge de la manifestation nationale, « rien ne justifie de tels actes »

Entre 80.000 et 140.000 personnes ont manifesté mardi à Bruxelles à l’appel du front commun syndical contre plusieurs mesures du gouvernement fédéral. Si la mobilisation a été massive, le ministre David Clarinval a dénoncé sur X les actes de violence commis en marge du cortège, rappelant que le dialogue social doit rester respectueux.

Entre 80.000 et 140.000 personnes ont défilé mardi dans les rues de Bruxelles à l’appel du front commun syndical, pour protester contre plusieurs mesures du gouvernement fédéral « Arizona » (MR, Les Engagés, N-VA, Vooruit et CD&V). La manifestation s’est terminée vers 16h00 à la gare du Midi.

Les syndicats CSC, FGTB et CGSLB dénoncent la réforme des pensions, l’extension des flexi-jobs et la baisse des rémunérations pour le travail de nuit. Ils réclament des emplois de qualité, des pensions justes et une sécurité d’emploi renforcée.

En marge du cortège, des incidents ont été signalés. Le ministre fédéral David Clarinval a réagi sur X. « Manifestation, oui, destruction, non. La violence contre les bâtiments ou les agents publics est inadmissible. Rien ne justifie de tels actes. »

Il rappelle que le gouvernement poursuit des réformes ambitieuses pour renforcer la compétitivité des entreprises et garantir la pérennité du système social, tout en appelant au respect du cadre démocratique et du dialogue social.

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