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Un PDG et sa collègue surpris par une kisscam : un proche revient sur l’affaire et fait une surprenante révélation

Par RTL info
Un proche de Kristin Cabot revient sur la polémique survenue lors du concert de Coldplay, affirmant qu’aucune liaison n’existait entre elle et le PDG Andy Byron. La scène, qui a déclenché une vague de réactions en ligne, aurait été mal interprétée.

Le 16 juillet 2025, au Gillette Stadium aux États-Unis, la fameuse « kiss cam », cette caméra qui filme les couples pour les inciter à s’embrasser, a braqué ses projecteurs sur deux cadres d’une même entreprise : Andy Byron, PDG d’Astronomer, et Kristin Cabot, directrice des ressources humaines.

Les deux collègues ont été vus en train de s’enlacer brièvement, avant de se rasseoir visiblement gênés. En quelques heures, la séquence devient virale. Les rumeurs d’infidélité envahissent les réseaux sociaux et la presse à scandale. Résultat : deux démissions et une demande de divorce.

Deux mois plus tard, un proche de Kristin Cabot a décidé de prendre la parole dans le magazine américain People. Il affirme : « Kristin et Andy n’ont jamais eu de liaison, ils sont simplement de bons amis et collègues ». D’après lui, chacun était déjà séparé de son conjoint au moment du concert. Ce proche reconnaît que la scène pouvait prêter à confusion, mais insiste : « Il était inapproprié d’être dans les bras de son patron lors d’un concert, et elle en assume l’entière responsabilité ».

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Insultes, menaces et départs forcés

Selon ce témoignage, Kristin Cabot a reçu jusqu’à 900 menaces de mort en trois jours. Face à l’ampleur du scandale, elle et Andy Byron ont tous deux quitté Astronomer. L’entreprise a justifié leur départ en invoquant la nécessité de « donner l’exemple » au sein de la direction.

Mais pour l’entourage de Kristin Cabot, cette décision est profondément injuste : « Le scandale, les répercussions sur sa réputation, la perte de son emploi… tout cela est injuste », déplore la source. Enfin, la source insiste : « Ce geste était maladroit, mais certainement pas un acte d’infidélité ». Présents avec un groupe d’amis ce soir-là, les deux collègues n’auraient jamais imaginé une telle réaction du public. « Ce sont de vraies personnes, avec de vraies familles. C’est dur de voir à quel point les gens ont profité d’eux », ajoute encore ce proche, avant de conclure : « Le sensationnalisme a pris le pas sur la réalité ».

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