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"Ce sera juteux": le demi-frère de Meghan Markle prépare un livre explosif contre la duchesse

Alors que Thomas Markle, père de Meghan, espère une retraite "paisible" en Asie, son fils Thomas Jr. s’apprête à publier un livre très critique envers la duchesse de Sussex.

Thomas Markle, 80 ans, et son fils Thomas Jr., 58 ans, se sont installés aux Philippines, plus précisément sur l’île de Cebu, comme l’a révélé le média HLN. Le père de Meghan Markle, souvent au cœur de polémiques familiales depuis le mariage de sa fille avec le prince Harry, dit vouloir vivre ses vieux jours "loin des drames", dans un cadre "plus doux, respectueux des anciens".

Mais ce désir de paix semble contredit par l’actualité. Son fils Thomas Jr., connu pour ses nombreux démêlés avec la justice, finalise actuellement un livre dans lequel il s’en prend frontalement à sa demi-sœur. "Ce sera juteux", a-t-il confié à la presse, tout en admettant espérer en tirer un "coussin financier".

Une rupture familiale consommée

La relation entre Meghan et sa famille paternelle s’est détériorée depuis 2018, peu avant son mariage avec le prince Harry. Thomas Markle avait alors mis en scène des photos avec des paparazzis contre rémunération, provoquant une rupture avec sa fille. Malgré une tentative de réconciliation, Meghan l’ayant invité à l’accompagner à l’autel, il avait annulé sa venue, invoquant des soucis de santé, tout en racontant ses déboires à la presse.

Depuis, les contacts sont rompus. Une lettre privée de Meghan lui demandant d’arrêter ses sorties médiatiques a été transmise à un tabloïd. "Je suis très triste, j’ai perdu mon père", avait confié la duchesse à Oprah Winfrey.

Thomas Jr., tout comme leur demi-sœur Samantha, multiplie depuis les attaques publiques contre Meghan. Après avoir tenté de faire annuler son mariage dans une lettre adressée à Harry, il prépare désormais un ouvrage autobiographique qu’il espère voir adapté en documentaire. "Ce n’est pas une question d’argent, c’est une question de principe", assure-t-il, tout en reconnaissant qu’un bon revenu serait "bienvenu".

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