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"L’arme pourrait bien se retourner contre Buckingham": l'analyse de notre spécialiste après l'annonce du cancer du roi Charles III

Le palais de Buckingham l'a annoncé ce lundi soir: le roi Charles III est atteint d'un cancer. Si le palais a joué la transparence pour cette annonce, c'est jusqu'à un certain point... Pour analyser la communication de Buckingham Palace, Thomas de Bergeyck était invité dans le RTL info 13h. Si le palais décide de jouer la transparence, c'est pour "éviter les spéculations". Mais pour notre spécialiste de la monarchie, "l’arme pourrait bien se retourner contre Buckingham, parce que ces spéculations pourraient être pires encore."

On ne sait pas de quel type de cancer souffre le souverain, un peu comme pour la princesse Kate, opérée de l'abdomen. "On ignore le mal dont elle souffre réellement", dit-il.

Pour Thomas de Bergeyck, trois hypothèses peuvent être mises en avant : "Soit, il s’agit d’un cancer particulièrement inquiétant : on pense à un cancer de l’œsophage, du pancréas, du foie par exemple, qui sont très difficile a traiter", avance-t-il. Et si le palais n’en dit rien, c’est probablement pour ne pas inquiéter les Britanniques et ne pas "lancer d'autres spéculations du type règne très court, abdication, préparation de l'héritier William... On parle déjà de beaucoup de choses."

Soit, poursuit notre journaliste, il s’agit d’un cancer un peu "gênant", comme un cancer des testicules, du colon ou du rectum et dont on n’a pas forcément envie de parler publiquement. "Ce qui m’inquiète un peu, c’est que s’il s’agissait d’un cancer mineur, qui se soigne plutôt bien comme un cancer de la peau, par exemple, il aurait été communiqué par le palais dans le communiqué."

Mais Thomas de Bergeyck rappelle que "de plus en plus de cancers se soignent très bien. Et il est pris ici très tôt..." 

La famille royale doit s'adapter

Cette annonce rebat toute la dynamique familiale britannique. "La maison Windsor commence doucement à perdre quelques forces vives. C'est vrai que la réserve du trône après le roi commence à s'amenuiser", analyse notre spécialiste de la royauté.

Selon lui, on sent qu'il y a un léger mouvement de panique. "Le retour du prince Harry nous semble logique, c'est son papa. Il lui a passé un coup de fil, comme il a d'ailleurs rassemblé tous les autres membres de sa famille il y a quelques jours pour les prévenir de sa maladie, avant de communiquer à la population."

La réaction d'Harry a été immédiate: on a su, dès lundi soir, qu'il allait revenir au chevet de son père sans Meghan et sans ses enfants. "Mais de là à dire qu'il aura un rôle officiel à jouer, honnêtement, je ne le pense pas. Mais sa présence va peut-être permettre de rabibocher le père et le fils, et aussi le frère William."

On sait qu'il y a eu des tensions entre les deux frères et l'entente n'est plus au beau fixe. Mais ce qui les réunit, "c'est l'amour du père. Donc c'est lui peut-être, même si la circonstance n'est pas forcément joyeuse, rabibocher tout le monde", conclut Thomas de Bergeyck. 

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Commentaires

1 commentaire

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  • etb ça fait la une pour cela son cancer c est benin ou malin vu que cela a ete vu vite en plus et avec l age l evolution est plus lent je comprend plus les journaux qui en font un titre pareil

    dominique decarnoncle
     Répondre