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L'Union Saint-Gilloise n'est plus qu'à une victoire de décrocher un titre historique, attendu depuis 90 ans. Pour nos consultants, il n'y a pas de doutes à avoir: les Bruxellois seront champions le week-end prochain.
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L'Union Saint-Gilloise est au bord d'un exploit historique. Le club bruxellois, qui n'a plus remporté le titre depuis 1935, est en tête des Champions Play-Offs à une journée de la fin. Les Unionistes se trouvent dans une position idéale pour décrocher le Graal, avec un dernier match à jouer contre Gand et une position de leader difficile à perdre.
Honnêtement, je ne vois pas comment ils pourraient passer à côté de ce titre", affirme Silvio Proto, mettant en avant leur dynamique exceptionnelle. "Ce serait le plus gros braquage de l'histoire du football belge", estime-t-il même en cas de perte de ce titre.
Une pluie d'éloges
En effet, le parcours de l'Union dans ces play-offs est marqué par une constance et une cohésion exemplaires, avec un possible 28/30 au compteur. "Ce qu'ils ont fait aujourd'hui, ça doit mettre tout le monde d'accord", assure un intervenant, saluant la maîtrise collective déployée sur le terrain, semaine après semaine.
Dimanche prochain, l'Union recevra Gand pour l'ultime affrontement de ces play-offs. Une rencontre qui évoque un possible couronnement tant Gand, lanterne rouge des play-offs avec seulement 3 points sur 27, semble incapable d'opposer la moindre résistance. "C'est peut-être la pire équipe de l'histoire des play-offs", estime même Silvio Proto. "Je souhaite de tout mon coeur que l'Union soit championne", embraye Marc Delire, qui reste prudent, mettant en avant la tendance récente du club à laisser filer le titre de justesse.
"On ne peut pas imaginer un seul instant qu'ils passent à côté", confie enfin Kevin Sauvage. "Ils sont parfaits pour l'instant", conclut Marc Delire.
Cependant, tout n’a pas été rose pour l’Union. Des voix se sont parfois élevées pour critiquer la montée de nouveaux supporters perçus comme "supporters de la victoire". Mais ces critiques ne sauraient ternir une ascension bâtie sur un travail colossal et un collectif soudé. "Les vrais étaient là même en division inférieure. Peu importe ce que disent les sceptiques, cette Union mérite chaque éloge", réplique Marc Delire.
Réponse dimanche prochain.
