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La victoire du PSG en Ligue des champions a donné lieu à des scènes de liesse… mais aussi à de graves débordements dans les rues de Paris.
Parmi eux, Aurélien P., 20 ans, jugé pour avoir tiré au mortier sur des forces de l’ordre place de la Concorde. « Je ne suis pas quelqu’un de violent », a-t-il tenté de justifier. Le tribunal, qui a tenu compte de son CDI et de son casier vierge, l’a condamné à trois mois de prison avec sursis et 500 euros d’amende.
Bayo R., 22 ans, a reconnu avoir utilisé un mortier trouvé dans un buisson. « C’était dangereux et stupide », a plaidé un ami venu le soutenir. Il a été condamné à huit mois avec sursis, 500 euros d’amende et devra suivre un stage de citoyenneté.
Ali A., 23 ans, a expliqué avoir agi sous l’effet de l’adrénaline, lançant une bombe lacrymogène en direction des policiers. Son avocat a évoqué une fête qui dégénère et un dossier basé uniquement sur ses aveux spontanés. Le tribunal l’a condamné à huit mois avec sursis simple, assortis d’un stage de citoyenneté.
Enfin, Brahim D., étudiant aide-soignant, a été reconnu coupable d’avoir tiré au mortier avenue de la Grande Armée. Il a écopé de deux mois avec sursis et 500 euros d’amende. « Il a pris conscience de la gravité après coup », a confié sa mère à l’audience
