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"Nous nous concentrons sur nos matchs, mais c'est fascinant de voir certains résultats", a expliqué Andersson. "On voit que les grandes nations ne gagnent pas à chaque fois et c'est une source d'inspiration pour nous. Mais cela ne va pas changer notre façon de faire pour autant."
La Suède sera opposée à la Suisse dans un match équilibré sur papier. "Nous avons une bonne idée de leur style de jeu, ils vont être forcés de faire quelques changements (avec les suspensions de Schär et Lichtsteiner, NDLR), mais nous pensons que nous avons compris leur jeu", a confié Andersson. "Nous avons notre méthode, avec scouts et analystes vidéo. Nous avons de bons résultats analytiques pour le match contre la Suisse. Mais il ne faut pas non plus s'éloigner de la façon dont nous jouons."
Deux des quatre rencontres disputées jusqu'ici se sont terminées aux tirs au but. Andersson a déjà envisagé ce cas de figure. "C'est à moi de décider des joueurs qui doivent le faire. C'est ma responsabilité, c'est mon boulot. Et après les joueurs font de leur mieux. Nous en avons parlé. J'ai classé tous les joueurs et on prendra ceux qui sont encore sur le terrain au bout de 120 minutes."



















