Accueil Sport Dans le Peloton

Une faillite mentale ou... une petite maladie: ce que pourrait cacher l’abandon d’Evenepoel au Tour de France

Par Alexandre Braeckman
Remco Evenepoel n’ira pas plus loin au Tour de France. Le Belge a lâché l’affaire après plusieurs jours de souffrance. Pour nos consultants, plusieurs raisons pourraient avoir poussé le Belge à renoncer.

> Regardez Dans le Peloton en intégralité

C’est clairement la plus grande déception de cette fin de deuxième semaine du Tour de France : Remco Evenepoel a renoncé. Le coureur belge, sur le podium l’an dernier, a abandonné après avoir souffert en montagne, mettant fin à l’un des grands moments de sa saison.

« Un peu trop de pression »

Réunis dans le Peloton ce matin, Christophe Brandt et Maxime Monfort ont exprimé leur tristesse face à cet abandon, tout en défendant notre compatriote. « On le sentait un peu arriver. Il est un peu moins bien et ça a un peu lâché dans la tête, il revient de blessure, peut-être qu’émotionnellement il avait un peu trop de pression », juge Brandt.

Pour Maxime Monfort, il y a deux explications possibles. « Je ne crois pas qu’il ait abandonné parce qu’il sentait que le podium lui échappait. C’est quelqu’un d’extrêmement professionnel. Je ne crois pas qu’il va laisser tomber tout comme ça parce que ça ne va pas exactement comme il voulait », estime notre consultant.

Il évoque aussi la possibilité que les rumeurs d’un départ dans le clan de Red Bull aient aussi pu jouer un rôle. Mais pour nos experts, il n’y a pas de raison de s’inquiéter, à deux mois des Mondiaux. « Je pense qu’il va revenir. C’est un mec qui a du caractère. Il veut toujours être le meilleur », conclut Christophe Brandt.

Contenus sponsorisés

À la une

Les plus lus

La surexposition des enfants aux écrans inquiète : que peuvent faire les parents ? Voici quelques conseils

Le Conseil supérieur de la santé met en garde : dans son dernier rapport, il énumère les risques réels liés à une surexposition, des enfants et des jeunes, aux écrans. Au-delà du constat, le Conseil aborde aussi les solutions. Comment protéger les plus jeunes ? Pour la plupart des experts, il ne faut pas forcément interdire totalement les écrans, mais il est important de bien en limiter l’accès.