413 personnes ont été tuées dans des frappes nocturnes dans la bande de Gaza. L'armée israélienne a procédé à plusieurs frappes en ayant obtenu l'accord des États-Unis au préalable. Les USA rejettent la faute sur le Hamas.
Israël a mené ce dimanche une frappe meurtrière dans la bande de Gaza, minant un accord de cessez-le-feu déjà chancelant avec le Hamas, avant de nouvelles négociations indirectes à Doha sur les modalités de la poursuite de la trêve.
Les dégradations sont l'œuvre d'un groupe qui se nomme Palestine Action, et qui vise essentiellement les fabricants d'armes fournissant les Israéliens.
Plus de cinquante ex-otages israéliens de Gaza ont appelé le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, à conclure un accord de cessez-le-feu "complet" avec le Hamas pour permettre la libération du reste des captifs.
Le Hamas a diffusé ce vendredi une vidéo montrant un otage israélien vivant, retenu à Gaza depuis l'attaque du 7 octobre 2023 sur le sud d'Israël, s'adressant à sa famille en s'identifiant.
Alors que les relations entre Hamas et Israël sont à fleur de peau, Donald Trump a mis la pression sur l'organisation palestinienne. Ce qui ne plaît pas du tout aux principaux intéressés.
L'impasse actuelle compromet la poursuite de la trêve entrée en vigueur le 19 janvier après 15 mois d'une guerre dévastatrice à Gaza, déclenchée par l'attaque menée le 7 octobre 2023 par le Hamas dans le sud d'Israël à partir du territoire palestinien voisin.
Le chef de la droite allemande Friedrich Merz, futur chancelier après la victoire de son parti aux législatives, a assuré lundi que Benjamin Netanyahu "pourrait se rendre" en Allemagne malgré le mandat d'arrêt de la CPI (Cour pénale internationale).
Israël a retardé la libération de 602 prisonniers palestiniens prévue en échange de six otages relâchés. Ce report est dénoncé par le Hamas comme une "violation flagrante" de l'accord.