Accueil Actu Belgique Société

C'est le bon moment pour tailler vos arbustes: attention, tous nécessitent une coupe bien particulière

Si vous n'avez pas pu en profiter hier, le ciel vous offre une séance de rattrapage ce dimanche avec encore beaucoup de soleil, de douceur et des températures jusqu'à 20 degrés en plaine.. et ça tombe bien car c'est le moment où il y a du travail au jardin, particulièrement concernant les arbres et les arbustes. Bien les tailler c'est leur assurer de belles fleurs et de bons fruits.

Une coupe nette et précise : c'est ce qui attend certains arbustes habitués de nos jardins ce dimanche. "C'est maintenant, c'est le moment, c'est l'instant pour les rosiers et pour les hortensias. Les dernières gelées sont terminées donc ça permet à la plante de bien reprendre, d'être bien touffue, de bien repousser", note Emmeline Vermeiren, ouvrière du rayon pépinière d'un grand magasin.

Des plantes sensibles à ne pas tailler n'importe comment, démonstration avec un rosier anglais : "Pour les rosiers, c'est la fin des gelées pour le moment, c'est le bon moment de les retailler. Il suffit tout simplement de venir parallèlement au bourgeon et vous retailler", détaille la vendeuse.

Les arbres fruitiers doivent également être taillés, mais pas n'importe lesquels : seuls les fruits à pépins doivent l'être et pas ceux à noyaux. Oumar et Aurore, clients dans le magasin, ont acheté justement un prunier. "On cherche un arbre avec des petites fleurs pour faire effet cerisier japonais et faire un jardin style un peu asiatique", explique la cliente.

Pour les pommiers, figuiers ou encore poiriers, là aussi, c'est le moment, mais on ne les taille pas n'importe comment : en effet, si ces fruitiers ne sont pas bien taillés, ils feront moins de bourgeons et donc moins de fruits dans quelques mois.

Contenus sponsorisés

À la une

Les plus lus

Le fils d’Isabelle, 12 ans, abusé sexuellement par un employé dans une école de Charleroi : la famille est prise en charge dans un centre spécialisé

À Charleroi, le Centre de Prise en charge des Violences Sexuelles (CPVS) interpellent et inquiètent. Plus d’un patient sur deux qui y est accueilli est mineur. Une proportion bien plus élevée que la moyenne nationale. Pour l’instant, difficile d’obtenir des réponses claires : les spécialistes eux-mêmes peinent à interpréter ces données. Dans ce contexte préoccupant, nous avons rencontré une maman dont le fils a été victime d’abus sexuels. Elle a accepté de nous confier son récit, un témoignage douloureux. La famille a été prise en charge dans le centre.