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Selon BFMTV, les gendarmes de la section de recherches de Marseille sont revenus à trois reprises au Haut-Vernet depuis les gardes à vue de membres de la famille du petit Émile en mars dernier. Ces visites n’ont pas donné lieu à des fouilles, mais à des investigations scientifiques, menées dans des conditions climatiques similaires à celles de la disparition en 2023.
« Nous réalisons actuellement de nouvelles investigations pour explorer de nouvelles pistes », confie une source proche de l’enquête à BFMTV.
Lors d’une conférence de presse en mars, le procureur d’Aix-en-Provence avait évoqué des « ossements transportés », un « traumatisme facial violent » et une piste familiale « pas encore refermée ».



















