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La cour criminelle de Vaucluse a décidé, ce vendredi, de mettre des restrictions sur la diffusion des vidéos durant le procès des viols de mazan. Une décision forte que regrette l'un des avocats de Gisèle Pelicot.
La diffusion d'images mettant en cause les 51 accusés du procès des viols de Mazan se fera "à la demande d'une ou plusieurs parties" et en l'absence du public et de la presse, a décidé vendredi le président de la cour, contre l'avis de la principale victime.
Une décision forte que regrette l'un des avocats de Gisèle Pelicot. "Il faut qu'on ait le courage de se confronter à ce qu'est véritablement un viol" dans un procès qui "doit changer la société", a-t-il estimé vendredi.