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L’année 2025 a connu son lot de drames, de changements, mais aussi de rebondissements et d’espoir. En octobre 2025, le soleil éclaire une région rayée de la carte : la bande de Gaza est assiégée par les bombes israéliennes. Plus de 70 000 combattants et civils sont morts, dont au moins 18 000 enfants. Toute l’année, les journaux diffusent ces images de famine insoutenable. Elles vont provoquer une mobilisation d’une ampleur inédite, de New York à Bruxelles.

L’équilibre international est fragilisé et crtains sont pointés du doigt. À la Maison Blanche, le président ukrainien est humilié, critiqué sur sa gestion du conflit et sa tenue vestimentaire. Face à lui, le président américain incarne une aire d’incertitude. « C’est un peu la crainte, c’est qu’il deviendrait quelque part une espèce de dictateur à l’américaine où la seule chose qui compte, c’est de faire de l’argent et de rester la première puissance mondiale», pointe Michel Hermans, professeur en sciences politiques à l’ULiège.

Une incertitude économique aussi, avec les droits de douane imposés par Donald Trump. Depuis, les exportations belges de produits chimiques et pharmaceutiques dans le monde ont diminué de plus de 11%.

Le monde a besoin d’un nouvel espoir et il est peut-être incarné par le nouveau chef de l’église catholique. Léon XIV apparaît comme plus discret et moins progressiste que son prédécesseur, le pape François. « Il est peut-être un peu plus classique, oui, mais il dit aussi être parfaitement dans la même ligne que le pape François. Il n’empêche qu’il y a quelques jours à peine, il redemandait une nouvelle fois une trêve de la paix pour 24 heures à l’occasion de Noël dans les lieux de guerre, etc», juge Tommy Scholtès, porte-parole des évêques de Belgique.

Un pape né aux Etats-Unis, un pays divisé, notamment lors de l’assassinat du militant ultraconservateur Charlie Kirk. Sa veuve, Erika Kirk, soutient désormais le vice-président J. D Vance pour l’élection de 2028.
Le monde est divisé, mais le monde se rassemble aussi devant une scène construite en moins de 48 heures, celle de Tomorrowland. Un exploit des équipes techniques après le dramatique incendie de la scène principale.

Un décès a particulièrement ému les Belges. Celui d’Emilie Dequenne, morte à l’âge de 43 ans. L’éternel Rosetta des frères Dardenne s’est battu pendant deux ans contre un cancer. Sa disparition nous rappelle l’importance de la recherche.

De cette année 2025, on souhaite surtout retenir les images de rassemblement, de solidarité. Toutes ces moments qui nous prouvent que, dans les moments les plus compliqués, les peuples sont toujours capables de se soutenir.

















