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Les faits se sont déroules entre 2020 et 2024, entre les 11 et les 14 ans de la jeune fille. L’adolescente avait été confiée à la garde du prévenu, parce que celui-ci était le compagnon de sa mère. Mais après la séparation du prévenu et de la dame, le prévenu avait reporté son amour sur la fillette.
Il considérait qu’il était en couple avec elle et lui imposait différentes scènes sexuelles, prétendant qu’elle était consentante. L’analyse d’échanges de messages entre le prévenu et la victime a démontré un climat de pressions importantes, liées à la situation précaire de la victime.
Le prévenu détient un casier judiciaire riche de 14 condamnations, notamment pour des faits de vols avec violences, stupéfiants, incendie, menaces, prostitution et harcèlement. Il avait entre autres écopé d’une peine de 8 ans de prison.
Il a été condamné à une peine de 9 ans de prison pour viol, atteinte à l’intégrité sexuelle, incitation à la débauche, menaces, coups et harcèlement. Le tribunal a assorti la peine d’une mise à disposition du tribunal de l’application des peines d’une durée de 5 ans. Deux autres personnes, poursuivies pour s’être abstenues de dénoncer ces faits, ont été acquittées.



















