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Les faits dénoncés portaient notamment sur la tentative d’administration de substances dans le café d’une collègue. Selon l’enquête, du Temesta (un benzodiazépine, NDLR), du laxatif, du sel et des somnifères auraient été ajoutés à plusieurs reprises.
L’intéressée, également victime d’insultes à répétition, avait dû changer de service et consulter un psychologue. L’auditorat du travail avait requis des peines de travail de 180 et 100 heures à l’encontre des deux prévenues les plus impliquées, et la suspension probatoire pour les autres. Les défenses avaient plaidé la suspension simple du prononcé, voire l’acquittement pour certaines.
La victime et l’institution Les Frères de la Charité, administratrice du CNP, ont obtenu chacune un euro provisionnel de dommages. L’assureur de l’institution avait par ailleurs reconnu les faits comme un accident de travail.
















