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« Avant tout, c’est une thématique qui me tient très à cœur puisque ça parle de… moi », explique l’humoriste. « Mon métier, en fait, c’est juste nourrir l’enfant qui est en chacun de nous. J’essaie de ramener les gens un peu en enfance pendant une heure et demie. Et donc, ça parle de cet équilibre entre l’enfance, mais aussi l’adulte qui a des factures à payer, des responsabilités et qui ne peut pas être insouciant tout le temps. »
Un spectacle également plus intime que les précédents. « C’est mon troisième spectacle et c’est clairement pour moi le meilleur spectacle. Parce que je pense que plus on est anecdotique, plus on est personnel, plus on parle aux gens. Parce que je parle de ce que tout le monde vit. Cet équilibre-là, on doit tous le chercher. Je parle aussi de mes racines, de mon père, de ma mère. On a tous un père, une mère, ou en tout cas une figure paternelle ou maternelle. Après, bien sûr, j’ai aussi toujours mes personnages qui sont là, l’agent Verhaegen bien sûr, et plein d’autres. »
Dans l’émission qui encadre le spectacle le 25 décembre, on va découvrir sa maman, qui a quitté son Mexique natal pour venir en Belgique… ce qui a toujours laissé Pablo Andres perplexe. « En fait, ma mère étudiait la dentisterie au Mexique et elle est venue travailler en Belgique parce qu’en fait, au Mexique, il y a des millions d’habitants mais il y a peu de dents par habitant. Et en Belgique, il y a moins d’habitants et plus de dents. » Plus sérieusement, « elle est venue pour des raisons professionnelles et a eu une bourse d’études », ajoute-t-il.


















