Accueil Sport Football Football Etranger

Stupeur au PSG : Kylian Mbappé attaque le club… pour harcèlement moral

Par Yazid Ouazzani Chahdi
Le bras de fer juridique continue. Déjà en litige financier avec son ancien club, Kylian Mbappé a décidé de porter plainte contre le club Parisien pour harcèlement moral.

C’est le 16 mai que Kylian Mbappé a déposé une plainte à Paris pour harcèlement moral et tentative d’extorsion de signature. Deux juges d’instruction ont par la suite été désignés pour enquêter sur la plainte du joueur qui évolue désormais au Real Madrid.

Une information judiciaire contre X a été ouverte mardi. Le Soulier d’Or européen dénonce une mise à l’écart de la part du PSG en 2023 en le plaçant dans le « loft », un endroit où s’entraînent les indésirables du club. Des agissements qui avaient pour but de le forcer à renouveler son contrat. C’est uniquement grâce à l’intervention de Luis Enrique, entraîneur du PSG, que le joueur a pu quitter ce « loft ».

55,4 millions réclamés par Mbappé !

Cette plainte n’est pas la première de la part du Bondynois. Déjà après son départ vers Madrid, il réclamait une somme de 55,4 millions d’euros. Un montant incluant une prime de signature, des salaires impayés et des primes d’étique. Le PSG a de son côté jusqu’ici refusé de régler ces montants et a même contre-attaqué en réclamant une somme de 98 millions d’euros à Mbappé.

Kylian Mbappé n’est pas le premier à avoir eu recours à la justice suite à cette pratique de mise à l’écart. En mai dernier, l’ex-joueuse du PSG Kheira Hamraoui avait également déposé une plainte contre le club. Une procédure confiée à la Brigade de répression de la délinquance aux personnes (BRDP).

Contenus sponsorisés

À la une

Les plus lus

Le fils d’Isabelle, 12 ans, abusé sexuellement par un employé dans une école de Charleroi : la famille est prise en charge dans un centre spécialisé

À Charleroi, le Centre de Prise en charge des Violences Sexuelles (CPVS) interpellent et inquiètent. Plus d’un patient sur deux qui y est accueilli est mineur. Une proportion bien plus élevée que la moyenne nationale. Pour l’instant, difficile d’obtenir des réponses claires : les spécialistes eux-mêmes peinent à interpréter ces données. Dans ce contexte préoccupant, nous avons rencontré une maman dont le fils a été victime d’abus sexuels. Elle a accepté de nous confier son récit, un témoignage douloureux. La famille a été prise en charge dans le centre.