Les nouvelles taxes décrétées par Donald Trump toucheront de nombreux produits, dont les bières. Les taxes sur ce produit vont quintupler et atteindre les 25%. Les brasseurs belges se veulent pourtant rassurants : peu d'entre eux exportent vers les États-Unis.
Le "roi du macaron", autrement dit Michaël Labro, exporte une très grande partie de ses pâtisseries mondialement. Quelles sont les répercussions des dernières décisions de Donald Trump sur la production de ces macarons ?
Le président américain Donald Trump a annoncé mercredi lors d'une conférence de presse à la Maison Blanche l'introduction de nouvelles taxes douanières. Celles-ci seront de l'ordre de 20% pour les pays de l'Union européenne.
Le retour des droits de douane voulus par Trump menacent l'emploi en Belgique, notamment dans le secteur pharmaceutique et de la chimie, assure l'économiste Philippe Ledent. Cette décision pourrait aussi coûter un milliard aux entreprises technologiques belges et 3 milliards aux entreprises flamandes.
Changement de saison, facture salée : les pneus été reviennent sur les routes, mais leur prix flambe. Hausse continue depuis la pandémie, innovation, écologie et guerre en Ukraine expliquent une addition souvent chargée.
Après les contrats d'énergie à tarif fixe ou variable, le contrat à prix dynamique pour l'électricité arrive en Belgique. Mais concrètement, de quoi s'agit-il et, surtout, comment ça fonctionne ?
Cap sur le nucléaire : la commission de l'Énergie valide en première lecture la suppression de la date de sortie du nucléaire, ouvrant la voie à une prolongation des réacteurs existants et à la construction de nouvelles centrales en Belgique.
Les syndicats l'avaient annoncé, tous les secteurs d'activité ont été concernés par un mouvement de grève ce lundi. Peut-on chiffrer l'impact de cette mobilisation sur l'économie belge?
Lundi 31 mars, une grève générale va avoir lieu dans le pays pour dénoncer certaines mesures prises par le gouvernement. Tous les secteurs ou presque seront impactés, avec d'importantes pertes financières pour les entreprises. Les patrons disent se sentir pris en otage.
Alors qu’il réclame des soldats, des chars, des drones, des avions, le ministre de La Défense Théo Francken n’a toujours rien obtenu, selon des informations rapportées par notre confrère du Soir de ce jeudi.
Afin d'atteindre 2% du PIB en budget de la Défense, la Belgique doit trouver 4 milliards d'euros rien que pour l'année 2025. Le ministre fédéral de l'Économie David Clarinval clarifie la situation et exclut le recours à une nouvelle taxe, privilégiant d'autres pistes.
Faut-il recourir à une nouvelle "taxe de guerre" ou privilégier d'autres options pour financer l'augmentation du budget de la Défense ? Selon Etienne de Callatay, économiste, il est important de ne pas surcharger les générations futures d'emprunts.
Face à la nécessité de financer l'augmentation du budget de la Défense, l'État belge envisage de vendre ses "bijoux de famille", c'est-à-dire ses participations dans des entreprises telles que Proximus, Belfius et BNP Paribas Fortis. Bonne ou mauvaise idée? L'économiste Etienne de Callatay nous répond sans détour.
Belfius a longtemps exclu les armes de sa stratégie d'investissement. L'Echo rapporte qu'un important shift s'opère au sein de la banque : elle va à nouveau autoriser les investissements dans les entreprises tirant des revenus du développement, de l'entretien et de la production d'armes, y compris nucléaires. Voici comment la banque justifie son choix.
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