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Dans "Le Grand Piège", plusieurs personnes vont se voir proposer un fameux challenge : piéger la personne qui les accompagne dans un restaurant. En acceptant d'être les complices de cette émission de caméras cachées, les participants vont devoir exécuter des défis lancés grâce à une oreillette par Sandrine Dans et David Antoine, cachés dans une salle de contrôle secrète.
Peux-tu nous rappeler le principe de l'émission "Le Grand Piège" ?
Alors, comme son nom l'indique, le but est de piéger quelqu'un. Donc, on a des piégeurs qui se rendent dans un restaurant en Wallonie avec une personne qu'ils ont envie de piéger. Nos piégeurs ne connaissent pas du tout le scénario avec lequel ils vont devoir piéger leur invité. Ils le découvrent au moment où on les équipe avec l'oreillette, pour qu'on puisse les piloter à distance. Le but, c'est de relever cinq défis, si le piégeur relève tous les défis, il peut gagner jusqu'à 1.000 euros. Évidemment, il peut arrêter quand il veut la partie, par contre s'il se fait démasquer, il perd tout en retombant à 0.
Est-ce que tu étais étonnée par le jeu de certains piégeurs ?
Oui, ça m'a scotchée parce que je pense que j'aurais été incapable de piéger quelqu'un, même si on me dit souvent que je suis une bonne comédienne ! Et franchement, ils ont relevé pour certains des défis assez incroyables, et parfois, plus c'est gros, plus ça passe.
Et ce que j'aime dans cette émission, c'est qu'on rit beaucoup, mais il y a aussi beaucoup d'humanité. On se rend compte à quel point l'être humain peut être bon. On voit à quel point les personnes piégées acceptent ce que font les piégeurs par respect, par amitié ou par amour pour eux. Ce qui m'a le plus surpris, c'est de voir à quel point monsieur et madame tout le monde peuvent être bons comédiens et arrivent à bien mentir et à se mettre dans la peau de quelqu'un d'autre.
Comment s'est passé le tournage avec David Antoine ?
C'est la première fois qu'on travaille ensemble. Dès la première réunion, ça a tout de suite matché. On a vite compris qu'on avait le même type d'humour et qu'on avait envie de la même chose. On a aussi trouvé un chouette équilibre, au-delà de l'équilibre masculin-féminin, dans ce qu'on montre et de ce qu'on attend des participants.
Est-ce que tu regardes parfois des caméras cachées ?
Alors quand j'étais petite, je regardais les toutes premières caméras cachées à la télévision. Mais je trouve que ça s'est un peu perdu, je me souviens d'une époque où quand on prenait l'avion, certaines compagnies passaient des caméras cachées. Et je trouve qu'avec le retour du "Grand Piège", on s'est aperçu que le public était au rendez-vous, et qu'il avait envie de rire et d'avoir cette bulle d'oxygène.
Est-ce qu'on t'a déjà piégée ?
Oui, au temps où Jean-Michel Zecca faisait des caméras cachées. Ils ont essayé deux fois, mais ça n'a pas pris et ils ont été démasqués.
Qu'as-tu ressenti lors de cette tentative de caméra cachée ?
Ça m'a fait sourire parce que j'ai tout de suite senti le truc avant même d'aller au point de rendez-vous. Et la deuxième fois, j'ai immédiatement repéré les caméras. Après, quand tu es dans le milieu, tu as peut-être un autre regard. Et puis, je peux vraiment me fier à mon intuition, je sens tout de suite lorsqu'il y a quelque chose de pas normal.
Aimerais-tu retenter cette expérience ?
Alors non pas spécialement. C'est curieux parce que j'anime cette émission. Mais j'ai ni l'envie de piéger mes proches, ni l'envie de me faire piéger, j'aime bien avoir le contrôle de la situation.
Retrouvez l'émission "Le Grand Piège" sur RTL tvi et RTL play ce jeudi à 19h50. Au programme : comportements cocasses et situations loufoques ! Jusqu'où les participants iront-ils pour remporter 1.000 euros ?