Accueil Sport Football Diables Rouges

Diables Rouges: cette pépite de Genk a finalement décidé de représenter la Grèce, "le choix du cœur" explique le joueur

Konstantinos Karetsas a finalement choisi de représenter la Grèce en équipe nationale, plutôt que la Belgique. Le milieu de terrain limbourgeois de 17 ans a annoncé sa décision sur Instagram, lundi, alors que les spéculations allaient bon train sur son avenir au niveau international.

"Après beaucoup de réflexion, j'ai choisi de représenter la Grèce. C'est le choix du coeur, et cela n'a rien à voir avec les futures sélections. Je suis heureux d'avoir pris ma décision et je peux désormais me concentrer sur l'écriture d'une belle histoire avec la Grèce. J'apprécie profondément les efforts de la fédération belge de football ces dernières semaines, et je ne me sens pas moins Belge à cause de cette décision. Pour l'instant, je me concentre pleinement sur le Racing Genk et sur les matchs importants à venir dans les prochaines semaines", a écrit Karetsas sur Instagram.    

Après avoir traversé les classes d'âge en équipe nationale belge, des U15 aux U21, le milieu de terrain découvrira donc un nouvel environnement avec la sélection héllenique. Après avoir renoncé à une sélection en septembre avec les Diablotins en raison d'un "surmenage", il avait joué deux rencontres des qualifications pour l'Euro espoirs.    

À seulement 17 ans, Konstantinos Karestas a soulevé l'intérêt des sélections belge et grecque en raison de son talent précoce révélé particulièrement cette saison en Jupiler Pro League. Sous le maillot de Genk, où il est né et a effectué la majeure partie de sa formation, le gaucher a joué 22 matchs de championnat cette saison, inscrit 2 buts et donné 2 passes décisives. Il compte un total de 31 apparitions avec l'équipe première, et 20 avec Jong Genk (6 buts, 5 assists).

Contenus sponsorisés

À la une

Les plus lus

Le fils d’Isabelle, 12 ans, abusé sexuellement par un employé dans une école de Charleroi : la famille est prise en charge dans un centre spécialisé

À Charleroi, le Centre de Prise en charge des Violences Sexuelles (CPVS) interpellent et inquiètent. Plus d’un patient sur deux qui y est accueilli est mineur. Une proportion bien plus élevée que la moyenne nationale. Pour l’instant, difficile d’obtenir des réponses claires : les spécialistes eux-mêmes peinent à interpréter ces données. Dans ce contexte préoccupant, nous avons rencontré une maman dont le fils a été victime d’abus sexuels. Elle a accepté de nous confier son récit, un témoignage douloureux. La famille a été prise en charge dans le centre.