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La Belgique verra l’Amérique et disputera en juin prochain sa quinzième Coupe du monde, la quatrième d’affilée après sa large victoire (7-0) mardi à Liège face au Liechtenstein.
Privés de leur colonne vertébrale (Courtois, De Bruyne et Lukaku, tous blessés), les Diables Rouges ont rendu une copie propre pour signer leur 48e match consécutif sans défaite (41 victoires, 7 nuls) en qualifications pour un Mondial ou un Euro.
Axel Witsel a savouré sa montée au jeu dans un stade de Sclessin qu’il connait par coeur pour y avoir passé la majeure partie de sa carrière. La Belgique se qualifie pour la Coupe du monde 2026 et il pourrait y disputer l’été prochain sa 4e Coupe du monde.
« Franchement, je m’attendais à un très bel accueil. Maintenant, peut-être pas comme celui que j’ai eu aujourd’hui. Je dois remercier tout le monde parce que c’était vraiment incroyable. Tout d’un coup, tu as des souvenirs qui te viennent en tête et tu repenses à plein de trucs », se remémore l’ancien Rouche.
Décidé à rendre une plus belle copie qu’en 2022 au Qatar, l’expérimenté milieu de terrain aura quelques astuces à donner à ses plus jeunes compatriotes. « C’est déjà bien de jouer contre le Mexique et les États-Unis en mars, cela permet de jouer d’autres nations, un football complètement différent que celui d’Europe », confie Witsel.
« Dans les grands tournois, le premier match sera super important, que ce soit au niveau du résultat ou de la manière, car ça permet de prendre confiance pour les matchs suivants, tout en les prenant les uns après les autres », conclut-il.
















