Accueil Sport Football Football Etranger

"Nous ne sommes pas un centre médical": ce club brésilien dézingue Neymar et refuse de le recruter

Le club de Palmeiras n'est pas intéressé par Neymar. Mais alors pas du tout ! C'est ce qu'a annoncé sa présidente Leila, qui a sèchement recalé le Brésilien, qui pourrait quitter l'Arabie Saoudite l'été prochain.

On le sait, Neymar est dans une situation délicate. La superstar brésilienne peine à se remettre de sa grave blessure au genou, survenue en octobre 2023. Revenu sur les terrains il y a quelques semaines, l'ailier a finalement rapidement déchanté, devant à nouveau rester sur la touche pour plus d'un mois en raison d'une blessure aux ischios. Il ne rejouera pas avant mi-décembre.

Alors que son contrat à Al-Hilal, qui lui offre un pont d'or depuis son arrivée en 2023, expire en juin, nombreux sont ceux à s'interroger sur l'avenir du Brésilien de 32 ans. Des touches sont possibles en Europe, mais un retour au Brésil a lui aussi été évoqué ces dernières semaines. Le club de Palmeiras était cité comme possiblement intéressé.

Mais visiblement, ce n'est pas du tout le cas. Leila, la présidente du club, l'a affirmé hier: Neymar n'est pas du tout dans son viseur. "Neymar ne jouera pas pour Palmeiras, ce club n’est pas un centre médical. Je veux que des joueurs qui viennent ici soient prêts à jouer dès demain si l’entraîneur en a besoin", a-t-elle sèchement déclaré en conférence de presse. "Nous ne signerons pas un joueur qui ne pourra pas entrer sur le terrain", a-t-elle conclu.

Formé chez le rival de Santos, Neymar devra donc se trouver une autre porte de sortie, s'il en cherche une. 

Contenus sponsorisés

À la une

Les plus lus

Le fils d’Isabelle, 12 ans, abusé sexuellement par un employé dans une école de Charleroi : la famille est prise en charge dans un centre spécialisé

À Charleroi, le Centre de Prise en charge des Violences Sexuelles (CPVS) interpellent et inquiètent. Plus d’un patient sur deux qui y est accueilli est mineur. Une proportion bien plus élevée que la moyenne nationale. Pour l’instant, difficile d’obtenir des réponses claires : les spécialistes eux-mêmes peinent à interpréter ces données. Dans ce contexte préoccupant, nous avons rencontré une maman dont le fils a été victime d’abus sexuels. Elle a accepté de nous confier son récit, un témoignage douloureux. La famille a été prise en charge dans le centre.