Accueil Actu Belgique Elections communales

"Personne ne l'a fait": Georges-Louis Bouchez ne sera pas bourgmestre de Mons… mais se réjouit de la "progression" libérale

Même s'il n'a pas remporté la bataille montoise, où le bourgmestre Nicolas Martin reste en tête, le président du MR Georges-Louis Bouchez a souligné que son parti "progresse partout, de façon importante".

Les libéraux ont confirmé leurs bons scores du scrutin régional et fédéral de juin, insiste-t-il. "Nous sommes donc confortés et renforcés dans nos positions". Georges-Louis Bouchez s'est notamment réjoui du score du MR à Charleroi, à Tournai, à Liège et dans toutes les provinces.

"Nous sommes en position de pouvoir obtenir des mayorats dans des villes de plus de 50.000 habitants en Wallonie, mais aussi du côté bruxellois", a-t-il assuré. "Dans les provinces, qui sont des bastions forts du PS, les socialistes reculent, le MR progresse."

Le Montois s'est aussi félicité des près de 30% que sa liste Mons en Mieux obtient dans la cité du Doudou, même s'il ne ravira pas le poste de bourgmestre au socialiste Nicolas Martin. "Obtenir 30% à Mons, personne ne l'a jamais fait en dehors du PS. Donc ça reste une progression. Quand j'ai commencé la politique à Mons, nous avions 7 sièges, aujourd'hui, nous oscillons entre 14 et 15. Ce sont des vagues successives et les vagues érodent toujours, même les pierres les plus solides."

Cette vague bleue confirme d'ailleurs les résultats de juin, selon Georges-Louis Bouchez. "L'électeur a marqué son soutien au MR et, de façon plus globale, la majorité wallonne a été confortée."

Contenus sponsorisés

À la une

Les plus lus

Le fils d’Isabelle, 12 ans, abusé sexuellement par un employé dans une école de Charleroi : la famille est prise en charge dans un centre spécialisé

À Charleroi, le Centre de Prise en charge des Violences Sexuelles (CPVS) interpellent et inquiètent. Plus d’un patient sur deux qui y est accueilli est mineur. Une proportion bien plus élevée que la moyenne nationale. Pour l’instant, difficile d’obtenir des réponses claires : les spécialistes eux-mêmes peinent à interpréter ces données. Dans ce contexte préoccupant, nous avons rencontré une maman dont le fils a été victime d’abus sexuels. Elle a accepté de nous confier son récit, un témoignage douloureux. La famille a été prise en charge dans le centre.