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Première récolte sur cette parcelle de 1 hectare. Aujourd’hui, ils sont 38 bénévoles à s’activer, sécateur à la main. Certains reviennent chaque année. Ils partagent leur expérience avec ceux qui découvrent les vendanges.
« Ça nous permet de passer une bonne journée, de boire une soupe à 10 heures, de profiter du barbecue à midi et à la fin de journée, on profite encore d’une bonne bouteille », raconte Jean-Marie, bénévole.
« C’est très chouette. On rencontre plein de gens, beaucoup d’habitués. Avec cette météo, il n’y a rien à dire. C’est très agréable. On a plutôt l’impression d’être dans le sud de la France ou en Champagne », raconte Lucie, bénévole.
Les débutants bénéficient d’un petit écolage puisqu’ici chaque geste compte. Il faut faire attention à ce qu’on fait. On doit bien couper le raisin. Il ne faut pas prendre le raisin qui n’est pas mûr. Il faut le jeter par terre pour qu’il y ait un peu d’azote par la suite. Cette année, les vendanges s’étaleront sur une vingtaine de journées d’ici mi-octobre avec jusqu’à 50 bénévoles certains jours. À chaque fois, les volontaires ne manquent pas. « On a un fichier informatique où on rencontre les personnes pour qu’il n’y ait pas de déçus parce qu’on a une grosse population qui a envie de venir », raconte Philippe Leconte, responsable des vignes.
Au total, près de 150 000 bouteilles seront produites grâce à ces vendanges. Les premières cuvées du millésime 2025 seront disponibles au printemps prochain.

















