Partager:
Nicolas Lacroix a récemment troqué la scène pour le château de Les Traîtres, la célèbre émission de téléréalité. Un défi de taille pour l’humoriste belge, qui s’est confié sans filtre sur cette expérience dans le RTL info 13h.
"Alors moi j'aime bien les challenges et c'en est un gros parce que ça joue sur l'humain et c'est un truc qui me touche beaucoup", explique Nicolas Lacroix sur le plateau de RTL info 13h. Dès les premiers instants de l'émission, l'humoriste affirme voir pressenti que le jeu ne sera pas de tout repos.
Derrière les stratégies et les alliances se cache une mécanique psychologique implacable, qui met les nerfs à rude épreuve: "C'est dur de dire 'je pense que c'est toi'. À chaque fois, j'avais l'impression d'envoyer une épée sur quelqu’un juste par des suspicions que j'avais."
L’humoriste, connu pour sa bienveillance et sa gentillesse, avoue même avoir douté de sa place dans une émission aussi manipulatrice. " J'étais peut-être un peu trop humain pour ce jeu", lâche-t-il.
Un casting cinq étoiles
Si le jeu l’a quelque peu bousculé, le casting, lui, l’a impressionné. Cette saison, l'émission es Traîtres accueille des figures emblématiques telles que Liane Foly, Francis Huster ou encore Adil Rami. "C'est chouette, c'est un chouette aboutissement. C'est des grosses personnalités. Déjà quand tu vas en France c'est un peu compliqué, mais là c'est des grosses personnalités", raconte-t-il. Participer à un tel programme, en France, représentait pour lui « un beau signe de reconnaissance ».
Mais il ne cache pas le choc de se retrouver propulsé dans cet univers : "C'est comme quand tu arrives à un repas et tu connais personne. Et ici il y a 20 personnes à la base. Donc il faut vraiment le temps de se dire, il faut être soi-même. C'est très impressionnant en fait". Un baptême du feu pour sa toute première téléréalité.
Toujours fidèle à lui-même
Interrogé sur l’image qu’il renvoie à travers le programme, et qui pourrait laisser penser qu’il cache un côté manipulateur, Nicolas Lacroix rétorque qu'il est resté droit dans ses botte : "Non, pas fourbe. Et ça je l'ai bien vu."
Puis il ajoute, avec humour: "Je vais me faire avoir toute ma vie et ça me l'a confirmé".


















