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« Je ne sais pas comment on fait ça, moi » : Jean Dujardin était à Bruxelles pour remettre… un Gant d’Or

L’acteur oscarisé a parrainé la cérémonie des Gants d’or, célébrant l’excellence de la boxe belge.

Vendredi soir, Bruxelles a accueilli une figure emblématique du cinéma pour un événement exceptionnel. Jean Dujardin a été l’invité d’honneur de la cérémonie des Gants d’or, une soirée dédiée aux meilleurs boxeurs belges. L’acteur français, admirateur des grands noms de la boxe, a exprimé son admiration pour ce sport qu’il qualifie de noble. « Je ne sais pas comment ils font, entre le mental, la gestion du corps, la gestion du souffle. Je ne sais pas comment on fait ça moi », a-t-il confié avec humilité.

Jean Dujardin n’est pas le premier comédien à être lié à cet univers. Jean-Paul Belmondo, autre grand nom du cinéma, partageait également cet attachement et a marqué la boxe belge de sa présence passée, comme l’a rappelé la cérémonie. L’événement s’est tenu dans l’un des hôtels historiques et prestigieux de Bruxelles, qui accueille chaque année cette célébration de l’art noble. Un moment de rencontre entre le cinéma et la boxe, deux domaines où le mental et l’endurance sont primordiaux.

Qui sont les Gants d’Or ?

Anas Messaoudi (31 ans, 17 victoires dont 11 par k.o, 1 nul et zéro défaite), ex-champion international IBF des poids welters (entre 63,502 et 66,678 kg), est le 13e Gant d’Or, le prix récompensant le meilleur boxeur belge de l’année. Le lauréat succède au lourd-léger (entre 79,378 et 90,718 kg) Yves Ngabu. Anas Messaoudi rentre ainsi par la grande porte au palmarès du Gant d’Or mais à sa façon, puisque la belle et très méritante prestation qui lui a valu d’obtenir le prix tant convoité à une écrasante majorité, ne lui a pas pour autant permis de conquérir la ceinture EBU de champion d’Europe, le 2 août sur le ring de la Plaza de Toros de la Malagueta, en Espagne.

Le Gant d’Or féminin est lui revenu à la reine belge des super plumes (entre 57,152 et 58,967 kg) Delfine Persoon (40 ans, 50 victoires, 3 défaites), qui complète ainsi sa collection après avoir trusté le trophée huit fois d’affilée, depuis sa création jusqu’en 2020. Femke Hermans (35 ans, 18 victoires, 5 défaites), lauréate des deux éditions précédentes, est la dauphine.

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