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Le Standard en passe d'être vendu: des zones d'ombre subsistent encore

A-CAP, l'actionnaire majoritaire du Standard, a un accord de principe avec son actuel CEO, Giacomo Angelini, pour le rachat de ses parts. Un sacré rebondissement dans cette saga qui est encore loin d'être terminée. 

Le Standard a confirmé mercredi soir un accord de principe avec Advantage Capital Holding (A-CAP) pour la revente des parts de l'actionnaire majoritaire du club à un projet impliquant des investisseurs locaux.

"Après un processus de vente approfondi et plusieurs mois de négociations avec diverses parties pour déterminer le meilleur avenir possible pour le club, une solution optimale pour le club et A-CAP a pu être dégagée au travers d'une initiative, menée par le CEO actuel du club, Giacomo Angelini, qui impliquera des investisseurs locaux", a écrit le club dans son communiqué. 

Après des mois de négociations, on pensait la vente du Standard au point mort. Trois candidats avaient pourtant proposé plus de 30 millions d'euros chacun, mais leurs offres avaient été rejetées. Les Américains ont donc trouvé une autre solution. 

Mais l'ensemble de celle-ci reste floue pour le moment. On ignore par exemple le montant de la vente et d'où provient l'argent, s'il s'agit d'un prêt ou d'investissements. Ce que l'on sait, c'est que Giacomo Angelini, le CEO du club, affirme avoir trouvé les fonds pour séduire les actuels propriétaires américains.

Notons tout de même que le rachat n'est pas encore acté. Certains se demandent même si les Américains ont le droit de vendre le Standard, vu les dossiers judiciaires en cours à leur rencontre.

Bref, la saga est loin d'être terminée.

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