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Rik De Mil l’a un peu mauvaise. L’entraîneur de Charleroi aurait pu rejoindre l’Union Saint-Gilloise après le départ soudain de Sébastien Pocognoli, qui a cédé aux sirènes de l’AS Monaco la semaine dernière. De Mil l’a reconnu : la direction ne lui a pas permis de négocier avec les Unionistes en pleine saison.
« Tout s’est décidé au-dessus de moi, bien sûr, je suis déçu. Si vous avez la possibilité d’aller dans un club qui joue la Ligue des Champions et qui se bat pour le titre, en tant qu’entraîneur, vous rêvez de cela », a reconnu l’entraîneur il y a quelques jours. Une honnêteté qui a séduit nos consultants.
Un clash en vue ?
« Enfin quelqu’un qui dit ce qu’il pense et ce qu’il pense, je le pense également », commente par exemple Marc Delire. « Il aurait dit l’inverse, je ne l’aurais pas cru et j’aurais été déçu de sa part. De Mil-Charleroi, là ça sent le caca. Après une situation pareille, ça va être très compliqué », regrette-t-il ensuite.
« Où est-ce que ce duo va aller, en sachant que l’un des deux voulait partir ces derniers jours ? », s’interroge de son côté Damien Marcq au sujet de la relation entre Mehdi Bayat et son entraîneur. « Tout entraîneur a envie d’aller à l’Union. David Hubert est tombé dans un pont d’or. Mais il va falloir faire attention aux prochaines semaines à Charleroi », poursuit le Français.
Rik De Mil l’a affirmé : il a un accord avec Charleroi pour s’en aller en fin de saison en cas d’offre d’un club du top 6 et devait même avoir le droit de discuter avec des clubs de cette ampleur. « Je crois que les supporters de Charleroi auraient compris », regrette de son côté Kevin Sauvage, qui juge l’ambition de l’entraîneur de Charleroi légitime.


















