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Anderlecht a démarré sa saison par une victoire, ce week-end, contre Westerlo. Les Mauves se sont imposés 5-2 et entament leur aventure avec Besnik Hasi, conservé sur le banc après un interim rassurant en fin de saison dernière. Un choix validé par notre groupe d’experts.
« C’est une armée mexicaine »
« Tant mieux pour lui, cela a été malin de l’entourer autrement », estime Thomas Chatelle, qui évoque le staff pléthorique des Mauves, avec pas moins de quatre insultants. « Il n’a plus le droit à l’erreur », embraye Kevin Sauvage. « Il a vraiment tout en main », juge même notre expert.
« Ils ont bien fait de le garder, ils ont besoin d’un roquet », estime de son côté Marc Delire. « Anderlecht jouait tranquille avec des pantoufles, maintenant ils ont des crampons. Des mecs comme Hasi, c’est indispensable » ?
Mais pour lui, Anderlecht a bien trop d’assistants, avec les arrivées d’Edward Still, Lucas Biglia et Jérémy Taraval dans le groupe des assistants. « C’est une armée mexicaine », regrette notre consultant, peu convaincu par l’intérêt d’avoir un staff d’une telle taille. « Tu n’as pas besoin de 4 assistants », regrette-t-il.
Thomas Chatelle est assez d’accord sur ce sujet, mais il loue tout de même la qualité de cet encadrement. « Je ne vois pas d’erreur de casting. Mais il y a plus de membres de staff que de joueurs… », conclut-il à ce sujet.
